concours photo

CONCOURS PHOTO Comme annoncé dans le car, vous pouvez envoyer vos meilleures photos du séjour Rome Campanie. Trois catégories : - meilleure photo d'histoire - meilleure photo de géologie - meilleure photo humoristique Pour chaque photo envoyée, un commentaire d'une ligne indique le lieu photographié A envoyer à italiereze@gmail.com

mardi 29 mars 2011

Chanson inventée par les S2 et les S3 lors des dernières heures de cars du retour d'italie

  1. De Notre Dame on est parti
Direction l'Italie
Que se passe-t-il en Libye pendant qu'on mange des Spaghettis?
Avec les S2 et 3
C'est parti on y va!!!!

Refrain) Mais qu'en restera-t-il du voyage en Italie
Qu'en restera-t-il du voyage en Campanie
Qu'en restera-t-il du voyage à Pompéi
Qu'en restera-t-il du voyage à Napoli?
Les pastas, les pizzas et les T-shirt « I<3 ROMA »
Qu'est c'que c'était sympa, on s'en souviendra...aaaAAAaaa...

    1. 24 heures dans le car
      Qu'est c'qu'on en avait marre
      Heureusement qu'il y avait les guitares
      Quel bon son de batard!!!
      On a mangé n'importe quoi
      Avec nos amis... (2temps^^) ET LES CHINOIS!!!!

Refrain) Mais qu'en restera-t-il du voyage en Italie
Qu'en restera-t-il du voyage en Campanie
Qu'en restera-t-il du voyage à Pompéi
Qu'en restera-t-il du voyage à Napoli?
Les Pastas, les Pizzas et les T-shirt « I<3 ROMA »
Qu'est c'que c'était sympa, on s'en souviendra...aaaAAAaaa...


    1. Le colysé c'était stylé
      Même fatigué et pas lavé
      Une ambiance de taré ça va nous manquer
      Des volcans aux Vaticans qu'est c'que c'était marrant!!

Refrain) Mais qu'en restera-t-il du voyage en Italie
Qu'en restera-t-il du voyage en Campanie
Qu'en restera-t-il du voyage à Pompéi
Qu'en restera-t-il du voyage à Napoli?
Les pastas, les pizzas et les T-shirt « I<3 ROMA »
Qu'est c'que c'était sympa, on s'en souviendra...aaaAAAaaa...

    1. Christine et Jaffrénou étaient au rendez-vous
      Mathé Garnier Bellier nous aurons bien guidés
      Tout le monde vous fait pleins de gros Bisous
      Maintenant il faut y aller c'est l'heure de la rentrée...

Refrain) Mais qu'en restera-t-il du voyage en Italie
Qu'en restera-t-il du voyage en Campanie
Qu'en restera-t-il du voyage à Pompéi
Qu'en restera-t-il du voyage à Napoli?
Les pastas, les pizzas et les T-shirt « I<3 ROMA »
Qu'est c'que c'était sympa, on s'en souviendra...aaaAAAaaa...


Remerciement à Pétronille et François pour leur magnifique accompagnement à la guitare ainsi qu'à tous les élèves des 2 classes qui pour moi maintenant ne forme qu'une!! ;P Merci encore à vous tous pour ces moments gravés dans nos mémoires =D


dimanche 27 mars 2011

Que restera-t-il de notre voyage en Italie ?

Fontaine de Trevi



Le voyage est terminé. Vous allez pouvoir commencer votre cure de désintoxication de pasta et manger des pizzas...

Qui pourrait envoyer les paroles de votre chanson ?

Et n'oubliez pas le concours photo (voir descriptif en haut du blog)

A lundi ...


mercredi 23 mars 2011

buongiorno

deja la moitie du sejour est passee et les eleves ont pu decouvrir la rome antique (Colisee, Forum romain, Circus Maximus) . Hier Pompei, et la Villa Oplontis. Aujourd'hui, grimpette du Vesuve et decouverte de Naples et son Musee archeologique. La chaleur de Naples les a conduit à la chasse a la glace italienne .

Aucune connexion internet dans les hotels, donc pas de photos pour l'instant.

D'autres nouvelles a Rome nous l'esperons.

samedi 19 mars 2011

lundi 21 mars visite de Rome

Travail préparatoire du voyage en Italie, Sujet 1 : La Rome Antique

Une Aventure Alternative d’Astérix et Obélix

Le jour se lève sur la Rome de César. Astérix, Obélix et Panoramix sont en mission diplomatique dans la plus grande ville du monde. Tandis que les trois compères déambulent dans les rues parfumées de la capitale de l’Empire, Obélix va sans le savoir déclencher une aventure comme ils n’en ont encore jamais vécu :
« Par Toutatis, ils sont fous ces romains ! Construire un si grand village ! Je sais qu’il y a beaucoup de monde, mais quand même ! Il doit en falloir des sangliers pour nourrir tout ce monde ! remarque l’imposant gaulois
  • Heureusement que tout le monde n’a pas ton appétit Obélix, sinon il ne fait aucun doute que Rome serait tombée depuis longtemps ! répond malicieusement le vieux druide Panoramix.
  • J’aimerai quand même bien savoir comment ça va vieillir tout ça ! Que du granit partout… ça vaut pas de la bonne pierre de menhir !
  • Mais, par Bélénos, c’est possible ! N’est-ce pas, Ô Panoramix notre druide ? Ne connais tu pas une potion capable de nous envoyer dans le futur afin d’observer Rome telle qu’elle sera dans un ou deux millénaires ? demande Astérix, le célèbre guerrier moustachu.
  • Oui, bien sur ! J’aurais l’occasion de rencontrer les druides de l’époque ! Nous pourrions… échanger des recettes, partager des secrets de druides… je me demande comment se portera la barbe à cette époque…
  • Et bien c’est décidé, nous partons pour le futur ! Combien de temps te faut-il pour préparer ta potion ? s’inquiète le blondinet du groupe.
  • Vu que j’ai déjà tous les ingrédients qu’il me faut, et qu’Obélix transporte mon chaudron, nous pouvons partir dés maintenant ! »

En moins de temps qu’il n’en faut à l’auteur pour trouver une justification à ce rocambolesque périple, Panoramix prépare la potion dans son chaudron, puis la fait boire à ses camarades avant de la goûter lui-même. L’instant d’après, les trois gaulois se sentent dériver à travers les couloirs du temps tandis que des images de Rome défilent devant leurs yeux. La grandeur et la décadence d’une des plus vieilles villes du monde se fait et se défait devant leurs yeux. Après quelques secondes, ou bien étaient-ce deux millénaires ? les voyageurs arrivent en l’année MMXI. Pour une raison que Toutatis seul sait, leurs vêtements ont changé au point de passer inaperçu parmi la foule de touristes qui parcourent désormais les antiques rues de la capitale. Astérix, Obélix et Panoramix décident de se joindre à l’un de ces groupes, composé essentiellement d’adolescents, menés par un guides. Accompagnés de ce groupe, ils remontent un grand escalier flanqué de deux statues.
Ils arrivent bientôt sur une place au centre de laquelle se trouve une grande statue équestre d’un bonhomme en toge.
« Vous pouvez observer sur cette place la statue équestre de Marc-Aurèle. Il a été empereur de 161 à 180. Une chose intéressante à noter sur cette statue est que, contrairement à de nombreuses sculptures antérieures à l’adoption du christianisme par les romains, celle-ci a été épargnée à cause d’un simple malentendu : en effet, les chrétiens ont confondu Marc-Aurèle et Constantin 1er. Ce dernier a été le premier empereur à se convertir au christianisme, il est donc normal que les chrétiens ne l’aient pas démolie, comme les autres statues ! explique le guide du groupe
  • Panoramix, c’est qui ce Marc-Aurèle ? demande Obélix.
  • C’est le monsieur sur le cheval.
  • Vous ne trouvez pas qu’il ressemble à Jules ? souligne Astérix.
  • Mmph, grogne le druide, Il a le profil romain, c’est tout ! Continuons la visite si vous le voulez bien. Quand le guide aura fini de parler je lui demanderai où je peux trouver un autre druide. »
Le petit groupe progresse devant des monuments qui n’existaient pas à l’époque d’Astérix, cependant ces derniers prêtent une oreille intéressée à certains propos du guide :
« Le Capitole, sur lequel nous nous trouvons, est l’une des sept collines de Rome. Est-ce que quelqu’un peut me dire en quoi ce que je viens de dire est faux ?
  • Le Capitole est en fait composé de deux collines plus petites ! répond un adolescent.
  • Exactement ! Le Capitolium, au sud, et l’Arx, au nord, étaient séparés par une petite vallée. De nos jours, celle-ci est comblée par les pavés que nous foulons ! complète le guide, Nous allons maintenant nous approcher de la position présumée de la roche Tarpéienne. La roche Tarpéienne trouve ses origines à la source même de la création de Rome. Après avoir tué son frère, et fondé la ville, Romulus décida de la peupler. Ayant choisi que c’était sur le Capitole qu’il établirait sa ville, il décréta que n’importe quel hors-la-loi qui s’y installerait serait protégé. En peu de temps, de nombreux colons ont afflué vers Romulus, cependant ils étaient tous de sexe masculin. Le problème que cela soulève étant évident, enchaîne le guide avec un regard entendu vers les garçons de son auditoire, Romulus décida d’aller se servir chez ses voisins, les Sabins. Pour soustraire les Sabines à l’autorité de leurs parents, il organisa une grande fête au cours de laquelle il enleva toutes les filles en âge de se marier. Le roi des Sabins, Titus Tatius, décida alors de récupérer les femmes et de marcher sur Rome pour donner une leçon aux romains. On raconte qu’à cette occasion, Tarpeia, fille du gardien de la citadelle romaine, tomba éperdument amoureuse du roi des Sabins, et qu’elle lui ouvrit les portes de la cité en échange de son amour. Tatius accepta, évidemment, avant de faire écraser la jeune femme par ses soldats dés qu’il mit un pied dans la cité. Toujours selon la légende, les Sabines s’interposèrent entre leurs pères et leurs maris pour éviter un bain de sang. Le fin mot de l’histoire est que les romains et Titus conclurent une alliance, et que cet épisode qui aurait pu être bien plus sanglant s’est bien fini, exception faite de Tarpeia évidemment, dont le nom est à jamais frappé du sceau de l’infamie. C’est donc sur cette roche que la jeune femme aurait trouvé la mort.
  • Eh ben, ils rigolent pas avec les menhirs les romains ! » conclut Obélix.

Après avoir partagé cette piquante anecdote, le groupe descend une volée d’escalier qui les amène à contempler un paysage de toute beauté.
Devant eux, l’arc de Septime Severe met en perspective le vieux forum romain.

« Vous pouvez observer sur votre droite l’arc de Settimio Severo, symbole fort de la puissance romaine, érigé en 203 pour commémorer une victoire militaire de l’empereur éponyme. » précise le guide, puis :
« Nous ne nous attardons pas sur le forum romain car nous le visiterons plus tard. »
Le groupe se dirige vers l’ouest pour apercevoir le forum de Trajan. Il ne reste pas grand-chose des ruines antiques, mais la place est toujours très occupée par les vendeurs à la sauvette.
« Nous sommes maintenant devant le forum de Trajan, symbole impérissable de la puissance romaine. Le seul monument en bon état est la colonne Trajane, érigée en 113 par Trajan, pour commémorer sa victoire sur les Daces. On dit qu’elle a été dessinée par Apollodore de Damas, le célèbre architecte ! Vous pouvez observer sur ces bas-reliefs le récit complet des batailles de l’empereur Trajan ! 

  • Combien ça fait, ça, en menhir ? demande le gaulois joufflu.
  • Oh, Obélix, arrête de penser aux menhirs et profite de la beauté des lieux ! » le dispute Astérix.


Les adolescents et les trois gaulois continuent leur route vers le Forum Romanum. Voyons voir ce que le guide a à dire sur lui, tandis qu’ils remontent la Via Sacra :
« Le Forum Romanum, symbole intemporel de la puissance romaine… commence la guide.
  • Oh non, ça va bien ! s’insurge un adolescent.
  • Non, mais cette fois c’est vrai ! Vous ne trouverez nulle part des ruines aussi bien conservées ! Nous remontons actuellement la « Via Sacra », ou voie sacrée. Les pavés les plus anciens de cette route ont vu le temple de Vesta et la Regia. C’est sur ce même chemin que paradaient les généraux vainqueurs. La coutume voulait que ces derniers défilent en costume de Jupiter, sur un char quatre-chevaux, pour se rendre au Capitole où ils priaient Jupiter le Bon et le très Grand pour leur victoire.
  • Sur votre gauche se trouve la Curie, symb… centre de la vie politique romaine ! C’est en son sein que des oracles informaient les sénateurs des décisions des dieux dans la vie politique de la cité, à travers l’interprétation de messages dans le vol des corbeaux, ou encore en les lisant dans les entrailles d’animaux. Vous pouvez voir en face de ce grand bâtiment la Colonna di Foca, le plus jeune des bâtiments de ce forum. En effet, elle fût construite au VIIème siècle pour honorer l’empereur d’Orient Phocas. Le long de ce forum romain vous pouvez croiser de nombreuses ruines que vous aurez le loisir de visiter de vous-même dans quelques instants. Je vous conseille de jeter un coup d’œil au temple de Romulus ;
ou encore à la basilique de Maxence et Constantin, la dernière basilique de Rome :


Tandis que le groupe se sépare pour visiter les ruines, les trois voyageurs gaulois se retrouvent pour discuter :
« Par Toutatis ! Comment les choses ont-elles pu changer aussi vite ? Il y a à peine quelques heures, le Forum grouillait de monde ! C’était le centre de la cité, on y croisait tous les habitants de la ville, et maintenant c’est à peine si des touristes daignent y jeter un coup d’œil ! s’insurge Astérix.
  • Les temps changent mon ami ! N’oublie pas que nous avons fait un saut de deux mille ans dans le futur, et que les choses ont eu tout le temps de se faire et de se défaire. Certes, autrefois, le forum était le point culminant de la société romaine. Il est aussi vrai qu’on y trouvait toutes les tranches de la société qui vaquaient à leurs occupations. Mais peu à peu, la cité s’est développée et le centre de la ville s’est développé. C’est déjà un miracle que les ruines aient tenu le coup aux nombreuses invasions dont parlait le guide ! rappelle Panoramix.
  • Surtout que de la pierre comme ça, c’est pas fait pour durer… Enfin, moi j’dis ça, j’dis rien ! » signale Obélix.
Sur ces paroles sujettes à controverse, le groupe repars par où il est arrivé pour arriver sur la Via Dei Fori Imperiali. Devant eux s’étale la perspective d’une avenue gigantesque menant au Colisée.
Le long de cette avenue, le groupe peut observer le Forum de César ; ainsi que les statues des plus grands empereurs de Rome :
César ;
Auguste (le vrai premier empereur de Rome : César n’était « que » tyran à vie.)
Astérix, Obélix et Panoramix se détachent momentanément du groupe pour se diriger vers une fresque qui attire leur attention : en effet, une frise de cartes montre l’évolution de l’Empire à travers les âges :
« Au commencement, Rome n’était qu’une ville parmi tant d’autre ! commence Panoramix,
Cependant, à force d’audace, les généraux de l’empire l’ont étendu de la Grèce à l’Andalousie :
Ah, voilà l’Empire de notre temps ! C’est grâce à Jules qu’il ressemble à ça ! Cependant, il y a une erreur. Je ne vois nulle part mentionné que notre village est le seul a avoir résisté à l’envahisseur ! continue le druide.

Et nous arrivons à la dernière frise : l’Empire est à son apogée ! La plupart du monde connu est sous son contrôle !
  • Impressionnant ! commentent en cœur Astérix et Obélix.
  • Dépêchons nous de retrouver le groupe, sinon on va se perdre, même si le Colisée, nous, on connait, hein Obélix ? fait Astérix.
  • Oh oui ! Je me souviens, on y avait croisé plein de gladiateurs sympas ! Allons voir ce que c’est devenu ! »
Les trois voyageurs se hâtent de retrouver leurs camarades temporaires, et arrivent bientôt au cœur du Colisée :

« Nous sommes maintenant au cœur de l’amphithéâtre Flavien, plus communément appelé « Colisée », symbole immortel de la puissance romaine ! Avec 572 mètres de circonférence et 57 mètres de hauteur, c’est le plus grand amphithéâtre du monde romain. De nombreux jeux y étaient organisés. Les fameux combats de gladiateurs, bien sur, mais aussi des combats navals, les moins connues, mais tout autant spectaculaires naumachies. De temps en temps, on pouvait aussi y voir s’affronter des bêtes exotiques, venant des confins des provinces conquises par les romains.
Fait intéressant à savoir : les derniers duels de gladiateurs ont eu lieu en 404, suite à leur interdiction par l’empereur Honorius. On ne trouve donc plus de gladiateurs à Rome à partir de 404. Coïncidence ? A vous de juger ! conclut le guide sur un ton mystérieux.
Je vous invite maintenant à observer le réseau de couloirs et de cellules qui circule sous l’arène. C’est de là que les gladiateurs ou les animaux pouvaient apparaître sur scène par le biais de mécanismes sophistiqués. Si vous voulez bien maintenant regarder par la fenêtre, vous pourrez apercevoir l’arc de Constantin, une autre merveille de Rome.
Cet arc a été construit par le Sénat et le peuple romain pour célébrer la victoire de l’usurpateur Constantin sur son rival, l’empereur légitime de tout l’empire romain, Maxence. (Un manque d’objectivité ?! Où ça ?) finit le guide.

  • C’est vrai que c’est cossu. Je me demande ce que ça donnerai à l’entrée du village ? s’interroge Obélix.
  • Je pense que cela ferait un peu trop prétentieux, mon cher Obélix. Continuons la visite. répond Panoramix. »
Après avoir pour la dernière fois jeté un œil au fabuleux Colisée, le groupe avec le guide à sa tête se dirige vers le mont Palatin.

Se détachant discrètement du groupe, Panoramix, Astérix et Obélix continuent la visite de leur côté. Leur silence fait écho à la majesté qui émane de la colline. C’est en effet en son sein que selon la légende, les jumeaux Romulus et Remus ont été allaité par la louve dans la grotte du Lupercale.
C’est aussi sur cette colline que les empereurs ont fait construire leurs résidences. C’est d’ailleurs cela qui a donné son nom à la colline (Palatin Palais). C’est dans un silence que les trois compagnons visitent les palais autrefois majestueux :
Ils en profitent même pour visiter le musée du site :

Après s’être longuement abreuvé de culture et d’histoire, Panoramix rappelle au groupe qu’il serait temps de rentrer chez eux.
« Il serait temps de rentrer chez nous !
  • Oh, c’est dommage je commençais à m’y faire à leurs cailloux ! Ceci dit je tuerai pour un sanglier !
  • Ne t’inquiètes pas Obélix, il y en a des dizaines qui t’attendent à notre époque ! De toute façon, je doute qu’on trouve un druide à cette époque, à quoi bon rester ? répond avec malice Astérix.
  • Et bien allons-y ! Il nous suffit de prononcer la formule magique en vieux gaélique et nous serons chez nous en moins de temps qu’il n’en faut pour dire « Menhir. »
Vu que je doute que vous parliez le gaélique ancien, il n’est d’aucune utilité que j’invente une formule bidon, puisque je ne parle pas le vieux celte non plus, et que les voyages dans le temps sont une absurdité. Prétendons donc que nos amis sont rentrés chez eux et qu’un banquet les attendait. Le mot de la fin, vite !
«  Alors, Rome, c’était comment ? demande Abraracourcix.
  • Somptueux ! s’exclame Panoramix.
  • Et les romaines ! soupire Astérix en rêvant.
  • Mouais, leurs pierres valent pas le bon menhir d’Armorique… »
Et ce sont sur ces belles paroles, prononcées la bouche pleine de sanglier, que les gaulois achèvent cette pitoyable parodie d’aventure. Goscinny doit se retourner dans sa tombe. Le voyage dans le temps ? Sérieusement ?





Thibault P, Valentin P, Valentin C, Maxence R.

vendredi 18 mars 2011

lundi 21 mars groupe 2 La Rome Antique


Le Circus maximus

1)La Naissance du Circus maximus & Ses constructions
     
     Nous nous sommes renseignées sur les premières constructions du Circus Maximus qui ont eu lieu au VIe siècles avant J-C. C'était un immense édifice public de Rome, situé dans la vallée de la Murcia entre le Palatin et l'Aventin, où étaient organisées des courses de chars. Il pouvait accueillir environ 380 000 spectateurs !! C'est le plus grand édifice sportif jamais construit. Sa longueur est de 600m. Et sa largeur 100m Nous avons vu l'arrête centrale du Circus Maximus appelée la « Spina. » elle mesure 340m .Vous pouvez constater
au centre de la spina :
Un obélisque. La piste s'appelle l'arena. elle mesure 1200m. Nous avons compris que les carcéres étaient les box des chars :  La place réservée à l'empereur et sa famille s'appelle la tribune ( ou Pulvinar ) Au temps d'Auguste le Circus Maximus pouvait contenir 150 000 personnes. Et au temps de Néron il pouvait en contenir 250 000 .

2)Les jeux 
     
     Nous avons vu que les jeux du Circus Maximus commençaient avec une procession ( sorte de cortége ) « la pompa » semblable à la cérémonie du triomphe, ce qui rappelle l'origine religieuse des jeux. Celle-ci partait du Capitole et arrivait au Circus Maximus à travers le forum, après quoi commençaient les courses des chars qui se succédaient pendant toute la journée. Le signal du départ était donné par le magistrat présidant les jeux en lâchant un mouchoir sur le sol. Il y avait des chars de couleur différentes: bleu, blanc, vert et rouge. Les spectateurs pariaient sur un char. Un char faisait 7 tours. L'entrée au Circus Maximus était gratuite, financée par l'empereur selon l'adage bien connu : « Panem et Circenses » qui voulait que l'État se préoccupe de nourrir et de distraire le peuple, afin de garder sa faveur. La course se déroulait dans le sens contraire des aiguilles d'une montre. Il y avait 6 chevaux pour tirer un char. Parfois, on les remplaçait-goût de l'extraordinaire- par des tigres ! 3)Maintenant La dernière course eut lieu en 549 après JC. Ensuite le cirque fut laissé à l'abandon. Aujourd'hui, joggers et amateurs du foot viennent y pratiquer leur sport favori. –- Notre Avis -– 1.Nous n'en croyons pas nos yeux une fois arrivés à Rome. Sans les moyens que nous avons grâce aux technologies que nous avons développées, ils ont pu construire un si grand édifice!!!


piazza Bocca Della Verità

La place prend son nom de la célèbre Bouche de la Vérité (Bocca della verità), masque placé dans le portique de l'église de Santa Maria in Cosmedina.
Selon une célèbre légende romaine, la bouche de cette ancienne plaque d'égout mangerait la main de tous ceux qui en la plaçant à l’intérieur prononcerait un mensonge.

La place est située au centre de l'ancienne zone marchande de Rome, entre le port fluvial près de l'île Tiberine, et l'Emporio.
Tombé sous l'influence b
yzantine après la chute de l’empire, elle fut le centre d’une colonie grecque.
Trois églises chrétiennes y furent construitent.

Jusqu'en 1868 il s'y tenaient les exécutions capitales par guillotine.

Le Forum Boarium


La place prend son nom de la célèbre Bouche de la Vérité (Bocca della verità), masque placé dans le portique de l'église de Santa Maria in Cosmedina.
Selon une célèbre légende romaine, la bouche de cette ancienne plaque d'égout mangerait la main de tous ceux qui en la plaçant à l’intérieur prononcerait un mensonge.
Sous les romains, c'était le forum Boarium, et aujourd'hui la place se vante d’un ensemble de monuments unique au monde : deux temples antiques bien conservés, une fontaine du XVIIIème, une église du haut moyen-âge avec un splendide clocher.

Le soi-disant temple de Vesta (ou temple rond) est un des plus anciens. Son plan est circulaire, il date du IIème siècle av JC. Attribué par erreur à Vesta en raison de sa ressemblance avec le temple homonyme situé sur le Forum romain, il est en réalité dédié à Hercule.


A côté on trouve le temple de Portunus, divinité du port fluvial, un exemple d'architecture gréco-romaine du IIème siècle av JC. Siège jusqu'au XIXème de l'église de Santa Maria Egiziaca, ex-courtisane, protectrice des femmes de mauvaise renommée.
De l'autre côté de la place, l'arc de Janus date du IVe siècle. Derrière la basilique San Giorgio in Velabro élevée au VIIe siècle contigüe à l'arc Arco degli Argenti.
La piazza Bocca Della Verità fut décorée en 1715 par le Pape Clément XI qui y fit construire une fontaine baroque, oeuvre de Carlo Bizzaccheri. Deux tritons avec les queues tressées soulèvent deux coquilles, symbole de la famille Albani.










mardi 22 mars Pompéi

Pompéi est une somptueuse ville ensevelie en 79 ap. J.C. par une énorme éruption du Sonna (même point chaud que l’actuel Vésuve), constitue un document capital de l’antiquité.
Fondée au VIIIème siècle av. J.C. par les Osques, Pompéi subit au VI av. J.C une influence hellénistique pas l’intermédiaire de Cumes, alors puissante colonie grecque. Devenue Samnite à la fin du Vème siècle av. J.C. , la cité vécut une période prospère jusqu’au Ier siècle av. J.C. : constructions urbaines et activités artistiques s’y développent. En 80av. J.C., la ville tombe sous la domination de Rome et devint un séjour apprécié des riches familles romaines qui apportèrent leur culture et imposèrent leur mode de construction et de décoration.
A la veille du drame, Pompéi comptait 20 mille habitants. Région fertile, elle pratiquait le commerce et la petite industrie (ex : textile), possédait un port sur la mère. Le grand nombre de boutiques et d’ateliers qu’on y a retrouvés attestent de l’activité intense de cette ville aisée.
En 62 ap. J.C, un tremblement de terre avait fortement endommagé la cité et les travaux de restaurations n’étaient pas achevés quand en aout 73 le volcan se réveilla et ensevelit toute la ville. En deux jours, Pompéi fut recouverte d’une couche de cendres atteignant 6 à 7 mètres d’épaisseurs.
Ce n’est qu’au XVIIIème siècle que commencèrent de vraies fouilles officielles et systématiques. La découverte eut un retentissement énorme dans toute l’Europe.

Axe nord sud : cardo axe est ouest :decumanus



Que trouve-t-on à Pompéi ?

Des corps en béton. (Méthode de Guisipe Fiorellic)







.

De beau passage piéton pour éviter de se salir/mouiller les pieds
Des œuvres d’art (fresque, peinture etc…)
Vénus au coquillage
                         caoue canem



vendredi25 mars groupe10

Sujet 10 : Basilique Saint Pierre et  la place Saint Pierre


La Basilique Saint Pierre ou plus précisément nommé Saint Pierre du Vatican est situé dans le petit état religieux du Vatican, sur la rive droite du Tibre et sa façade s’ouvre sur la place Saint Pierre.

Le début de la construction de la Basilique Saint Pierre s’est déroulé pendant l’année 1506 et a duré 120 années pour se terminé en 1626.

Le style principal de la Basilique est le style renaissance Baroque. Cette édifice religion impressionnant de 136mètres de haut pour 219mètres de longueur.
Sa superficie total est de 2,3ha.
 

Ce monument est inscrit au patrimoine mondial de l’humanité établie par l’UNESCO. Ses principaux architectes sont Bramante, Michel-Ange et Le Bernin.
C’est l’un des monuments le plus visité au monde avec au minimum chaque dimanche 150 000 catholiques qui viennent assisté à l’Angélus Pontifical dans la Basilique Saint Pierre.
Elle peut accueillir aux maximums 60 000personnes, ce qui lui doit le titre de plus grande église chrétienne. La Basilique abrite la dépouille de Saint Pierre qui fut le premier Pape.
Pierre mourut vers 65, il fut crucifié mais par humilité pour Jésus. Il voulut être crucifié la tête en bas.

Source :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Basilique_Saint-Pierre

La basilique Saint-Pierre (en latin Sancti Petri) ou plus exactement Saint-Pierre du Vatican (San Pietro in Vaticano) est le plus important édifice religieux du catholicisme, de dimensions extérieures de 219 m de long pour 136 m de haut, et des dimensions intérieures de 188 m de long, pour 154,60 m de large pour 119 m de haut[1]. Elle est située au Vatican, sur la rive droite du Tibre, et sa façade s'ouvre sur la place Saint-Pierre.
Voici un plan de la place en 1748 : Extrait du plan NOLLI. (pièce unique, c’est ma sœur qui me l’a dit ! (et oui elle est architecte….) )

 Inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité établie par l'UNESCO, la basilique Saint-Pierre est considérée comme la plus grande conception architecturale de son temps et demeure l'un des monuments les plus visités au monde. Sa construction, à l'emplacement de l'ancienne basilique construite sous l'empereur Constantin, commença le 18 avril 1506 et fut achevée en 1626.
A noter que, grâce à sa configuration, lorsque l’on se met sur un emplacement précis (sur une croix), nous pouvons observer une seule colonne au lieu de deux. (La aussi, c’est ma sœur qui me l’a dit).

Sources : ma sœur et wikipédia.


mercredi 16 mars 2011

mardi 22 mars groupe 3 villa d'Oplontis





La villa romaine d’Oplontis
  • Localisation : Coincée entre les pentes du Vésuve et la mer de la Baie de Naples, en Italie, on trouve une des plus somptueuses résidences romaines ... Oplontis. La Villa d'Oplontis appartient à la zone archéologique formée par Pompéi et Herculanum. Au centre de la petite ville italienne de Torre Annunziata, construite sur l’ancienne cité d’Oplontis, au bord du golfe de Naples, la Villa d’Oplontis se trouve à 5 kilomètres de Pompéi et à une dizaine de kilomètres du Vésuve. La découverte d’Oplontis est aussi culturelle qu’archéologique et représente bien le luxe de la Rome antique.


  • Son histoire : Cette villa luxueuse est probablement la résidence d'été de l'impératrice Poppée Sabina la femme de l'empereur Néron car ils ont découvert une amphore portant l'inscription "Secundo Poppaea ". D'après les fouilles faites, la villa était probablement vide au moment de l’éruption car en travaux à cause des dégâts provoqué par le tremblement de terre qui eut lieu quelques années auparavant en effet, aucune victime, aucun objet de la vie quotidienne n'y ont été découverts.


  • Un évènement majeur : La petite ville d'Oplontis fut elle aussi détruite la l'éruption du Vésuve en 79 avant JC. Des fouilles faites en 1964 on permit de découvrir une somptueuse villa romaine de la fin du I siècle recouverte 7 fois par les laves du Vésuve ce qui fait environ 8 mètres de roche volcanique. Elle mesure 3650 mètres carrés qui ont été fouillés à ce jour sans compter la piscine et les jardins.
  • Son architecture : Elle est très vaste, sa décoration est très luxueuse. La villa d'Oplontis est formées de nombreuse pièces décorées de fresques du deuxième style pompéien en parfait état, les motifs sont des oiseaux, des fleurs, des natures mortes, des masques de théâtre, ainsi que de nombreux trompe l'œil. La grande piscine de 61 mètres sur 17 mètres était ornée de nombreuses statues en marbres des copies d'époque romaine d'originaux grec.
  • Les principaux points de visite :
  • L’atrium, qui est orné de fresques qui semblent intactes. Le puits de lumière qui se situe dans le toit éclaire la mosaïque qui recouvre le sol de ce vaste salon.
  • le calidarium est une installation thermale que l’on retrouvait souvent dans les maisons nobles. On y trouve une eau chauffée à l’air chaud. Ses fresques colorées, de style dit pompéien , sont aussi un bel exemple de luxe.
  • Le salon, qui est la pièce centrale, possède des fresques alliant bleues, vert, rouge, jaune. Il accueillait de la sorte dignement les festins des maîtres du lieu.
  • Le triclinium : les convives y mangeait couchés sur des lits. Il allie fresques aux couleurs vives et mosaïques.
  • Le cubiculum, autrement dit chambre à coucher, est formé de niches où se glissaient les couches des dormeurs. Ces niches sont encore aujourd’hui joliment décorées de sculptures en trompe-l’œil et de fresques où le vert foncé prédomine.
  • Le péristyle, jardin entouré d’une élégante et élancée colonnade, abrite un endroit frais et dévoué au repos. Il aurait été autrefois garni de lauriers.
  • Le couloir, où les fresques sur fond rouge embrasent le curieux. Il mène vers le pressoir, une pièce à vivre, où le vin était fabriqué. Les oiseaux qui peuplent les fresques grenat dévorent leurs baies chapardées.
  • La piscine, aux dimensions impressionnantes pour l’époque : 61x17 m. La vidange était facilitée grâce à une construction du fond légèrement pentue. Les sculptures de marbre blanc qui l’entouraient ont depuis longtemps disparu. Il n’est pourtant pas difficile d’imaginer le cadre et la beauté indéniables du lieu à l’époque romaine.
  • Plan de la villa :
  • Quelques aspects de l’architecture :

Sources :

mercredi 23 mars groupe 6 musée de Naples

Musée archéologique national de Naples


Description du musée:

C'est un musée spécialement dédié à l'antiquité classique qui rassemble une des plus importantes collections gréco-romaines existant au monde. Il se situe dans le « Palazzo degli Studi » un des majeurs palais monumentaux du centre historique de Naples. Son nombres important d'œuvre est principalement issue de la collection Farnese (de la royauté de Naples) et de collections pompéiennes. Malgré les contestations du pape qui voit des nombreuses œuvres quitter la ville éternelle Rome, Ferdinand VI parvient à démarrer le projet en 1777. Le 22 février 1816 , il inaugure officiellement le nouveau musée. Au cours du XIXesiècle , les fonds du musée continuèrent de s'enrichir de plusieurs collections privées.

Les œuvres:

Il présente une des plus extraordinaires collections archéologiques du monde entier. Antiquités égyptiennes, italiques, grecques, romaines en plus de toute une foule d’objets récupérés suite aux fouilles des villes ensevelies de Pompéi et d’Herculanum.

  • Des magnifiques trésors découverts dans la « villa des Papyrus » d’Herculanum
  • Des mosaïques
  • Un cabinet secret (Pour cela question aux professeurs si nous allons visiter tout le musée), Si oui, alors description de cette partie du musée, érotique, pornographique)
  • Des empereurs romains
  • La collection Farnèse

Le musée d'une grande richesse présente également à ses visiteurs des armes, des terracottas, des pots et des vases, des ustensiles d’ivoire, des bijoux et des pièces de monnaie.


Sous-sol : Collection égyptienne
Rez-de-chaussée : Le grand hall est essentiellement occupé par des sarcophages. Dans les salles suivantes diverses copies en marbre d’originaux grecs sont exposées ainsi que la Collection Farnèse avec deux œuvres majeures:
  • l’Hercule Farnèse
  • Le taureau Farnèse.
Entre-sol : Ces salles sont consacrées en majorité aux mosaïques provenant des fouilles de Pompeï. La pièce maîtresse est mondialement connue, elle représente la bataille d’Issos entre Alexandre le Grand et Darius. Le Cabinet Secret n’étant plus interdit aux femmes est ouvert à tout public, il contient un nombre considérable de pièces à sujets érotiques.
Premier Etage : Les salles, outre l’argenterie et des petits bronzes exposent les fresques de Pompeï et celles trouvées dans les villas romaines de la région.